L’utilité des couleurs qui vous illuminent (illustrée par une histoire vraie)

Mes très chers lecteurs, depuis la création de mon blog, je vous encourage à porter des couleurs qui vous mettent en lumière pour valoriser votre image, améliorer votre bien-être, optimiser votre communication et vos relations aux autres. Mardi dernier, en déplacement à Paris, j’ai vécu une aventure étonnante qui exprime le bienfait des couleurs. Une belle histoire que j’ai voulu partager avec vous pour que, vous aussi, vous en retiriez ses bénéfices. La vie nous met parfois dans des situations cocasses, stressantes et surprenantes… au dénouement heureux.

Homme avec un pantalon moutarde assis sur un muret

 

En ce mardi 24 septembre, le soleil et la chaleur baignent tout Paris. A l’angle de la rue Meslay et de la rue du Temple, juste à côté de la place de la République pour ceux qui ne connaissent pas, je repère le distributeur bancaire que je recherche. J’attends patiemment mon tour derrière un homme d’environ 1m80, à la silhouette mince et aux cheveux courts et châtain clair. Il téléphone et semble agité dans sa conversation. Je n’y prête pas grande attention. Inconsciemment, j’observe les belles couleurs de ses vêtements de dos. Il porte une chemise en coton (ou un mélange de coton et soie mélangée car la matière est souple et soyeuse) de couleur bleu jean à la trame particulièrement délicate et un pantalon de velours côtelé fin moutarde (teinte encore très présente cet hiver). Ses brogues marron (derbies avec des motifs à trous) complètent habilement son ensemble automnal.

La panoplie bleu-moutarde de l'inconnu du distributeur

Cet homme, à la tenue vestimentaire colorée riche et profonde, met beaucoup de temps à retirer son argent. Je commence à m’impatienter lorsque je le vois détaler brusquement. Il a l’air très pressé. Je m’avance vers le distributeur. J’ouvre mon sac. Je fouille à l’intérieur pour en sortir ma carte quand, tout à coup, des billets sortent de la machine ! Par réflexe, je m’en saisis et panique. « Mais d’où vient cet argent ?!? » Je recule et laisse la place à la personne qui attend derrière moi. Je me mets à compter… 200 euros ! Un mélange de stress et de joie m’envahit : « Quel joli cadeau inattendu ! Et si je m’offrais cette belle paire de bottines qui me tentait tout à l’heure ? » Je retrouve mon calme et réfléchis quelques secondes. J’en conclus que ce sont les billets de l’homme en bleu-moutarde et non pas un cadeau tombé du ciel. J’imagine l’étourdi rentrer chez lui, découvrir qu’il a oublié ses 200 euros, s’affoler et désespérer. « Je dois le retrouver et les lui rendre ! » Je me retourne pour voir où il se trouve dans la rue et… plus personne ! Envolé ! Je pars à sa recherche, mais il y a un monde fou dans cette large rue inondée de soleil où les terrasses sont pleines à l’heure du déjeuner. Je cours cinquante mètres. Je m’arrête et observe autour de moi. J’essaie de visualiser précisément les couleurs harmonieuses de son ensemble. Tout me revient en tête instantanément : le joli bleu jean de sa chemise à la coupe près du corps et le velours fin de son pantalon jaune moutarde. Je continue à marcher. Je scrute. Je reviens sur mes pas. Sait-on jamais, s’il revient, mieux vaut rester aux alentours du distributeur. J’aiguise mon regard et analyse rapidement les centaines de personnes qui s’agitent autour de moi.

homme en jaune qui se démarque dans la foule grise

Cinq bonnes minutes passent. « Et s’il ne s’en rend pas compte tout de suite ? J’ai un train à prendre, moi ! » Enfin, de loin, j’aperçois un homme avec un pantalon jaune-brun et une chemise bleu. C’est lui ! J’en suis sûre ! Il marche vite à contre sens. Il semble inquiet. Je l’interpelle. Il me fait signe qu’il a autre chose à faire de plus important. Je lui crie : « C’est moi que vous cherchez ! » Il me jette un regard interrogateur, mais poursuit sa route et me dépasse. Je me retourne et lui dis avec une expression bienveillante : « C’est moi qui ai votre argent. Vous l’avez oublié au distributeur. » Avec un grand sourire, je lui tends ses billets.  Il retire immédiatement ses lunettes de soleil et m’envoie un regard affectueux et soulagé. Heureux comme un gamin qui voit le Père Noël, il m’embrasse en me prenant par les épaules et me remercie mille fois.

— Vous êtes incroyable !

— Ce sont vos couleurs qui le sont. Remerciez-les. Elles m’ont interpellée et m’ont permis de vous retrouver dans la foule.

— Vous voulez quelque chose ? 

— Non, merci. Votre joie me suffit amplement comme remerciement. Mais j’ai bien failli repartir avec vos billets l’espace d’un instant !  C’est votre jour de chance ! 

— Vous aussi aurez de la chance pour vous remercier de votre geste, j’en suis certain !

Aussi joyeux l’un que l’autre, nous nous souhaitons une bonne journée. C’est le cœur palpitant et le sourire aux lèvres que je repars prendre mon métro sous un merveilleux ciel bleu… jean et un soleil jaune… moutarde. Un savoureux paysage d’automne à la chaleur de l’été.

Morale de l’histoire de votre coach en image :

Portez de belles couleurs qui vous mettent en lumière pour que les gens se souviennent de vous de façon POSITIVE ! 🙂

Pour vous aider à les déterminer, lisez mes articles « Comment choisir vos meilleures couleurs ? » partie 1 et partie 2.

A très bientôt sur Votre image en lumière pour découvrir les couleurs envoûtantes et profondes de cet hiver 2013-2014 !

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Je m'abonne à la newsletter !

Pour recevoir les mails d’informations de Pascale de Votre Image en Lumière, merci de bien remplir toutes les informations demandées.

Pascale Loko, coach et conseil en image